Rêve du 25 janvier
Partir sans payer
Je suis dans un restaurant à Reims dans l'avenue où j'habite. Je suis avec ma soeur et mes deux cousins. Nous sommes en train de choisir nôtre menu près du comptoir. Trois jeunes femmes s'occupent du restaurant et attendent nos commandes. Le grill est visible derrière ces trois femmes, il est assez sale, de la vieille nourriture traine dessus. Je choisis comme menu une escalope de poulet grillé avec des frites. Je remarque sur une affiche que le menu coûte 28 euros... Nous nous installons à une table près de la fenêtre quand ma soeur reçoit un sms. Elle nous dit que mon père pouvait finalement nous cuisiner ce soir et qu'il a préparé une paella exprès. Mais nous restons quand même dans le restaurant. Une des femmes m'amène mon assiette, il y a bien du poulet mais j'ai eu des pâtes à la place des frites. J'amène donc mon assiette pour leur demander des frites en plus, une des femmes me sert donc trois-quatres frites... Les trois femmes doivent s'occuper de quelque chose et partent en nous laissant seuls dans le restaurant. Je vais chercher un bac de glace dans la cuisine du restaurant, je prend le parfum vanille et m'en sert une énorme coupe. Après avoir fini de manger nous sortons par la porte de derrière quand les trois femmes arrivent et nous demande de payer. Nous courrons le plus vite possible pour ne rien payer, les femmes nous poursuivent mais nous atteignons un bus. Nous montons à l'intérieur pour être définitivement débarrassé des trois femmes qui nous pourchassent.
Je suis dans un restaurant à Reims dans l'avenue où j'habite. Je suis avec ma soeur et mes deux cousins. Nous sommes en train de choisir nôtre menu près du comptoir. Trois jeunes femmes s'occupent du restaurant et attendent nos commandes. Le grill est visible derrière ces trois femmes, il est assez sale, de la vieille nourriture traine dessus. Je choisis comme menu une escalope de poulet grillé avec des frites. Je remarque sur une affiche que le menu coûte 28 euros... Nous nous installons à une table près de la fenêtre quand ma soeur reçoit un sms. Elle nous dit que mon père pouvait finalement nous cuisiner ce soir et qu'il a préparé une paella exprès. Mais nous restons quand même dans le restaurant. Une des femmes m'amène mon assiette, il y a bien du poulet mais j'ai eu des pâtes à la place des frites. J'amène donc mon assiette pour leur demander des frites en plus, une des femmes me sert donc trois-quatres frites... Les trois femmes doivent s'occuper de quelque chose et partent en nous laissant seuls dans le restaurant. Je vais chercher un bac de glace dans la cuisine du restaurant, je prend le parfum vanille et m'en sert une énorme coupe. Après avoir fini de manger nous sortons par la porte de derrière quand les trois femmes arrivent et nous demande de payer. Nous courrons le plus vite possible pour ne rien payer, les femmes nous poursuivent mais nous atteignons un bus. Nous montons à l'intérieur pour être définitivement débarrassé des trois femmes qui nous pourchassent.
-Le restaurant n'existe pas en réalité et de manière générale le "scénario" est réaliste mais totalement improbable puisque je suis le seul de ma famille à habiter à Reims.
Rêves du 27 janvier
Fuite
Je suis dans l'immeuble de ma grand mère mais dans ce qui semble être une chambre d'hôtel. Je suis avec un couple marié. La femme veut dire quelque chose à son mari et me montre des documents concernant son mari. Elle précise que ces documents contiennent des informations gênantes concernant son mari. Elle va voir son mari avec les documents en question, son mari est allongé sur un lit dans le salon de la chambre d'hôtel. Elle fait tomber par accident les documents sur son mari, il en prend une feuille et la lit. Il s'énerve très rapidement mais de manière surnaturelle, comme si toute l'atmosphère, toute l'ambiance était remplie par sa colère. Je commence à avoir très peur et décide de fuir le plus loin et le plus vite possible. Je cours vers le balcon, le mari me poursuit et essaie de m'attraper quand je décide de sauter. Je tombe dans l'herbe, je ne suis pas blessé. Je cours très vite pour partir du quartier résidentiel. J'en suis sorti quand je me rend compte que je suis en train de rêver mais j'ai toujours peur et je continue à courir.
-Je me suis réveillé vers 2h du matin pour noter ce rêve, j'avais encore peur plusieurs minutes après m'être réveillé.
Je suis dans l'immeuble de ma grand mère mais dans ce qui semble être une chambre d'hôtel. Je suis avec un couple marié. La femme veut dire quelque chose à son mari et me montre des documents concernant son mari. Elle précise que ces documents contiennent des informations gênantes concernant son mari. Elle va voir son mari avec les documents en question, son mari est allongé sur un lit dans le salon de la chambre d'hôtel. Elle fait tomber par accident les documents sur son mari, il en prend une feuille et la lit. Il s'énerve très rapidement mais de manière surnaturelle, comme si toute l'atmosphère, toute l'ambiance était remplie par sa colère. Je commence à avoir très peur et décide de fuir le plus loin et le plus vite possible. Je cours vers le balcon, le mari me poursuit et essaie de m'attraper quand je décide de sauter. Je tombe dans l'herbe, je ne suis pas blessé. Je cours très vite pour partir du quartier résidentiel. J'en suis sorti quand je me rend compte que je suis en train de rêver mais j'ai toujours peur et je continue à courir.
-Je me suis réveillé vers 2h du matin pour noter ce rêve, j'avais encore peur plusieurs minutes après m'être réveillé.
La tour
Je suis en voiture avec mon père, il me conduit quelque part. Nous sommes dans une sorte de désert et après une longue route j'aperçois une énorme tour blanche à l'architecture très particulière. Cette tour a des milliers d'ouvertures qui servent de fenêtre mais sans vitre. Certaines parties en hauteur de la tour sont presque trois fois plus large que son rez-de-chaussée. Nous allons au sommet de la tour en voiture quand nous tombons sur une sorte de toboggan. Nous sortons de la voiture, mon père prend un luge et glisse dans le toboggan, je suis juste derrière lui accroché avec mes mains au bord de la luge. Mais le toboggan laisse place à des rails fixées au plafond et il n'y que du vide en dessous. Je suis alors obligé de m'accrocher au rails avec une sorte d'aimant. J'ai de plus en plus de mal à rester dans ce chemin, je me cogne au paroi, parois qui se rapprochent de plus en plus. Je me laisse tomber sur le côté après avoir remarqué une plateforme à ma droite. Je suis cette fois dans ce qui semble être un des étages de la tour, il y a des marques gluantes et vertes fluorescentes sur certains endroit du sol. Je traverse la salle en évitant les marques vertes et en sautant sur des blocs pour passer au dessus de flaque remplit de cette substance verte fluorescente. Je passe une porte, je me retrouve dans une petite salle, un étrange petit homme couronné me félicite d'être arrivé jusque là.
-La tour avait un côté surréaliste, comme si elle appartenait à un film d'animation ou un jeu vidéo. Tout le désert autour de la tour était très proche des graphismes de Rage, au niveau de la couleur surtout.
Tricheur
Je suis dans un couloir qui descend doucement, sur mon côté droit il y a des sortes de borne électronique qui accueille des jeux de game boy advance. Je glisse un jeu pokémon dans l'une d'elle et marche dans le couloir. Je continue jusqu'à ce que je tombe sur un étrange toboggan-escalier qui me bloque le passage. Il est constitué de plusieurs couches et certaines peuvent s'enlever pour pousser les gens qui passent dessus dans le vide. Il y a plusieurs étudiants de mon groupe qui essaient de le traverser, je vais dessus moi aussi. Je me laisse glissé en m'accrochant au bord droit mais un homme essaie de m'écraser les doigts avec son pied. Une des couches du toboggan commence à s'enlever sous moi mais finalement j'arrive à passer de l'autre côté. Je continue et me retrouve au bord d'une falaise, il y a un paysage magnifique en face de moi. Une étrange petite fille vient me parler, elle me dit que mon voyage aboutira à l'endroit en bas de la falaise. Je regarde de nouveau et remarque qu'il y a un Ronflex dormant sur une des routes. Je décide alors de sauter de la falaise. Et en un bond je suis sur mes pieds en bas de la falaise. La petite fille arrive près de moi en grondant, elle me dit que je ne doit pas tricher et que je dois faire tout le voyage comme tout le monde.
-Peut être une suite du rêve précèdent mais je ne suis pas sur. Toute la dernière partie près de la falaise avait un côté jeux vidéo nintendo(mario, pokémon) très marqué d'un point de vu esthétique.
Je suis dans un couloir qui descend doucement, sur mon côté droit il y a des sortes de borne électronique qui accueille des jeux de game boy advance. Je glisse un jeu pokémon dans l'une d'elle et marche dans le couloir. Je continue jusqu'à ce que je tombe sur un étrange toboggan-escalier qui me bloque le passage. Il est constitué de plusieurs couches et certaines peuvent s'enlever pour pousser les gens qui passent dessus dans le vide. Il y a plusieurs étudiants de mon groupe qui essaient de le traverser, je vais dessus moi aussi. Je me laisse glissé en m'accrochant au bord droit mais un homme essaie de m'écraser les doigts avec son pied. Une des couches du toboggan commence à s'enlever sous moi mais finalement j'arrive à passer de l'autre côté. Je continue et me retrouve au bord d'une falaise, il y a un paysage magnifique en face de moi. Une étrange petite fille vient me parler, elle me dit que mon voyage aboutira à l'endroit en bas de la falaise. Je regarde de nouveau et remarque qu'il y a un Ronflex dormant sur une des routes. Je décide alors de sauter de la falaise. Et en un bond je suis sur mes pieds en bas de la falaise. La petite fille arrive près de moi en grondant, elle me dit que je ne doit pas tricher et que je dois faire tout le voyage comme tout le monde.
-Peut être une suite du rêve précèdent mais je ne suis pas sur. Toute la dernière partie près de la falaise avait un côté jeux vidéo nintendo(mario, pokémon) très marqué d'un point de vu esthétique.
Rêve du 28 janvier
Retour au village
Je suis dans le village de mon arrière grand mère. Je suis chez un ami, nous sommes au moins trois ou quatre. Un jeune homme que je n'aime pas veut venir et se dirige vers la porte d'entrée. Il allait entrer à l'intérieur quand je referme la porte sur ses doigts. Il a eu mal mais pas au point de pleurer ou de s'énerver, il ne comprend pas pourquoi nous le rejetons comme ça. Un vieil homme a vu toute la scène pendant qu'il passait en vélo en face de la maison. Il commence à me crier dessus, à dire que je suis cruel. Je lui répond en faisant une comparaison douteuse entre lui et le Maréchal Pétain... Je sors dans la rue pour retourner voir ma mère. Je vais dans la rue qui se trouve directement en face de la porte de la maison de mon ami. Je continue dans la rue jusqu'à ce que le passage soit bouché par un énorme tas de pierres et de troncs d'arbres empilés. Il y a aussi un homme qui coupe du bois avec une scie sur mon côté gauche. J'escalade le tas de bois quand un des tronc glisse et tombe lourdement sur le sol. J'ai un peu peur que le bucheron s'énerve et donc j'accélère l'escalade. Je suis maintenant de nouveau sur une route mais elle est très abimée, comme si un tremblement de terre l'avait éclaté dans tous les sens. Je continue tout droit, je suis devant mon ancienne maison. Elle est totalement vide et elle dégage un aspect sinistre. Je prend alors le chemin de droite mais il est bloqué par une pièce d'une des maisons qui déborde sur toute la route. Il y a une grosse femme allongé sur un lit d'hôpital, je la reconnait mais je n'ai pas envie de la voir. Elle m'appelle et je change d'avis après avoir vu ma mère près d'elle. Je discute avec elles puis je vais m'asseoir près de la table dans le salon, ma mère me donne une cannette de coca. Ma mère ouvre la porte pour laisser entrer d'anciennes connaissances habitant ici.
Je suis dans le village de mon arrière grand mère. Je suis chez un ami, nous sommes au moins trois ou quatre. Un jeune homme que je n'aime pas veut venir et se dirige vers la porte d'entrée. Il allait entrer à l'intérieur quand je referme la porte sur ses doigts. Il a eu mal mais pas au point de pleurer ou de s'énerver, il ne comprend pas pourquoi nous le rejetons comme ça. Un vieil homme a vu toute la scène pendant qu'il passait en vélo en face de la maison. Il commence à me crier dessus, à dire que je suis cruel. Je lui répond en faisant une comparaison douteuse entre lui et le Maréchal Pétain... Je sors dans la rue pour retourner voir ma mère. Je vais dans la rue qui se trouve directement en face de la porte de la maison de mon ami. Je continue dans la rue jusqu'à ce que le passage soit bouché par un énorme tas de pierres et de troncs d'arbres empilés. Il y a aussi un homme qui coupe du bois avec une scie sur mon côté gauche. J'escalade le tas de bois quand un des tronc glisse et tombe lourdement sur le sol. J'ai un peu peur que le bucheron s'énerve et donc j'accélère l'escalade. Je suis maintenant de nouveau sur une route mais elle est très abimée, comme si un tremblement de terre l'avait éclaté dans tous les sens. Je continue tout droit, je suis devant mon ancienne maison. Elle est totalement vide et elle dégage un aspect sinistre. Je prend alors le chemin de droite mais il est bloqué par une pièce d'une des maisons qui déborde sur toute la route. Il y a une grosse femme allongé sur un lit d'hôpital, je la reconnait mais je n'ai pas envie de la voir. Elle m'appelle et je change d'avis après avoir vu ma mère près d'elle. Je discute avec elles puis je vais m'asseoir près de la table dans le salon, ma mère me donne une cannette de coca. Ma mère ouvre la porte pour laisser entrer d'anciennes connaissances habitant ici.
-Un des rares rêve où je m'énerve sans devenir un taré psychopathe, même si je me comporte comme un gros connard au début.
La chose et les bons à rien
Je suis chez mon père avec ma soeur et nous sommes en train de préparer la maison pour nos futurs invités. Nous sommes en train d'aménager un sauna et un jacuzzi dans la cave. La maison ressemble à un magasin de bricolage. Nos invités arrivent. Six personnes entrent dans le salon et nous nous embrassons mutuellement pour nous dire bonjour. Il y a une homme et sa femme, ils ont la quarantaine. Ils ont trois filles, toutes les trois d'âges différents. La plus grande aillant environ vingt ans et la plus jeune sept ans. Toute cette famille a les cheveux blond, ils sont originaires de Suède. Il y a un autre homme avec eux, un de leurs amis. Ma soeur dit un mot juste avant de saluer la plus jeune des filles, "Aryen!". Je lui dit de se taire. Je demande au père si le mot "aryen" a un sens réel en dehors de l'idéologie nazie. Il me répond dans une sorte de jargon scientifique. Et il s'installe dans la maison pour faire des expériences sur la génétique pour prouver une éventuelle différence entre l'Homme caucasien et le prétendu Homme aryen. Le père prétend que la différence est au niveau de la durée de vie des poils...
La plus jeune des filles commencent à devenir turbulente et cour partout dans la maison. Elle descend les escaliers mais elle n'a pas le droit d'aller à la cave. Je la poursuis jusque dans la cave quand une rage terrible monte en moi. Je prend alors la petite fille par ses pieds et la fracasse contre un des piliers qui soutient la maison. Je me rend compte que je suis en train de rêver. La petite fille est désormais une poupée en forme de bébé et je n'ai pas envie de me confronter au reste de la famille. Je veux changer de décor pour atteindre le but que je me suis fixé. Je vais dans un des couloirs de la cave, il y a une porte de secours au bout. Je cours de plus en plus vite en criant "Plus de lucidité!" et je fini par défoncer la porte avec mon épaule droite. Je suis éblouie pendant une seconde puis un nouveau décor se matérialise rapidement sous mes yeux. Je suis dans un parc et je suis très surpris par la netteté du décor qui est excellente. Je me concentre et dit "Derrière moi il y a la chose qui me terrifie le plus". Je me retourne, il n'y a rien. Je recommence et toujours rien, je tente une dernière fois. Cette fois il y a quelque chose, une étrange créature noir. Elle est très petite, moins d'un mètre et a un visage assez particulier qui la rendrait presque mignonne. Je lui demande ce qu'elle représente mais elle ne répond pas. Elle ne semble pas pouvoir parler. Je lui dit qu'elle ne me fait pas peur, que je n'ai peur de rien!
-Voilà se qui arrive quand on regarde l'article "Aryen" sur wikipédia... La maison du rêve n'a strictement rien à voir avec ma maison et évidemment je n'ai pas de jacuzzi dans ma cave...
Je suis chez mon père avec ma soeur et nous sommes en train de préparer la maison pour nos futurs invités. Nous sommes en train d'aménager un sauna et un jacuzzi dans la cave. La maison ressemble à un magasin de bricolage. Nos invités arrivent. Six personnes entrent dans le salon et nous nous embrassons mutuellement pour nous dire bonjour. Il y a une homme et sa femme, ils ont la quarantaine. Ils ont trois filles, toutes les trois d'âges différents. La plus grande aillant environ vingt ans et la plus jeune sept ans. Toute cette famille a les cheveux blond, ils sont originaires de Suède. Il y a un autre homme avec eux, un de leurs amis. Ma soeur dit un mot juste avant de saluer la plus jeune des filles, "Aryen!". Je lui dit de se taire. Je demande au père si le mot "aryen" a un sens réel en dehors de l'idéologie nazie. Il me répond dans une sorte de jargon scientifique. Et il s'installe dans la maison pour faire des expériences sur la génétique pour prouver une éventuelle différence entre l'Homme caucasien et le prétendu Homme aryen. Le père prétend que la différence est au niveau de la durée de vie des poils...
La plus jeune des filles commencent à devenir turbulente et cour partout dans la maison. Elle descend les escaliers mais elle n'a pas le droit d'aller à la cave. Je la poursuis jusque dans la cave quand une rage terrible monte en moi. Je prend alors la petite fille par ses pieds et la fracasse contre un des piliers qui soutient la maison. Je me rend compte que je suis en train de rêver. La petite fille est désormais une poupée en forme de bébé et je n'ai pas envie de me confronter au reste de la famille. Je veux changer de décor pour atteindre le but que je me suis fixé. Je vais dans un des couloirs de la cave, il y a une porte de secours au bout. Je cours de plus en plus vite en criant "Plus de lucidité!" et je fini par défoncer la porte avec mon épaule droite. Je suis éblouie pendant une seconde puis un nouveau décor se matérialise rapidement sous mes yeux. Je suis dans un parc et je suis très surpris par la netteté du décor qui est excellente. Je me concentre et dit "Derrière moi il y a la chose qui me terrifie le plus". Je me retourne, il n'y a rien. Je recommence et toujours rien, je tente une dernière fois. Cette fois il y a quelque chose, une étrange créature noir. Elle est très petite, moins d'un mètre et a un visage assez particulier qui la rendrait presque mignonne. Je lui demande ce qu'elle représente mais elle ne répond pas. Elle ne semble pas pouvoir parler. Je lui dit qu'elle ne me fait pas peur, que je n'ai peur de rien!
-Voilà se qui arrive quand on regarde l'article "Aryen" sur wikipédia... La maison du rêve n'a strictement rien à voir avec ma maison et évidemment je n'ai pas de jacuzzi dans ma cave...
Contrairement au rêve précèdent je me comporte comme un psychopathe cette fois mais c'est la deuxième fois de suite que cette explosion de violence me donne accès à la lucidité en rêve. L'objectif était de faire apparaitre la chose qui me fait le plus peur pour discuter avec elle et pour voir si elle a changé depuis la dernière fois que je l'ai fait apparaitre(je posterai ce rêve plus tard). La chose qui est apparu n'est pas celle qui était apparu la dernière et je doute que ma phrase est marché, je vais essayer encore mais en étant plus concentré et en stabilisant le rêve plus longtemps.
Rêve du 29 janvier
Sortie en ville
Je suis dans mon ancienne maison avec ma soeur. L'étage a été aménagé avec toute nos affaires. La chambre du fond contient toutes mes affaires. Je vais voir ce qu'il y a sur mon lit. Il y a des livres de jeux vidéos et beaucoup d'objets en rapport avec les jeux vidéos en général. Il y a deux chargeurs de Nintendo Ds mais ils sont cassés et ça m'énerve puisque je n'en ai pas d'autre. Je regarde par la fenêtre, le chat de ma soeur veut rentrer. Il a perdu beaucoup de poils, il est probablement malade. J'appelle ma soeur pour qu'elle prenne son chat et l'amène hors de l'étage. Je lui dit de ne pas l'approcher de nôtre chien, ils pourraient se battre. Il y a une salle de bain dans ma chambre. Je prend une douche et m'habille pour allez dehors. Je sors de la maison avec ma soeur, mon père, ma tante et ma cousine sont devant la maison. Nous marchons dans la rue, toute l'architecture donne un aspect religieux à la ville, comme si nous étions dans une cathédrale. Il y a aussi des fosses pleines de boue, je demande à mon père si il y a une crypte ou des catacombes sous cet endroit. Il me répond que c'est peu probable. Ma tante me demande si je préfère manger un kebab ou dans un restaurant italien pour midi. Je lui répond que je n'aime pas la cuisine italienne. Il y a des petites cochons blanc un peu partout dans la rue, ils sont assez mignons. Ma soeur en prend un et l'amène près de nôtre chien, Bidule, que je porte dans mes bras. Mon chien ne semble pas vouloir faire de mal au petit cochon et a l'air de se demander ce que c'est.
Je suis dans mon ancienne maison avec ma soeur. L'étage a été aménagé avec toute nos affaires. La chambre du fond contient toutes mes affaires. Je vais voir ce qu'il y a sur mon lit. Il y a des livres de jeux vidéos et beaucoup d'objets en rapport avec les jeux vidéos en général. Il y a deux chargeurs de Nintendo Ds mais ils sont cassés et ça m'énerve puisque je n'en ai pas d'autre. Je regarde par la fenêtre, le chat de ma soeur veut rentrer. Il a perdu beaucoup de poils, il est probablement malade. J'appelle ma soeur pour qu'elle prenne son chat et l'amène hors de l'étage. Je lui dit de ne pas l'approcher de nôtre chien, ils pourraient se battre. Il y a une salle de bain dans ma chambre. Je prend une douche et m'habille pour allez dehors. Je sors de la maison avec ma soeur, mon père, ma tante et ma cousine sont devant la maison. Nous marchons dans la rue, toute l'architecture donne un aspect religieux à la ville, comme si nous étions dans une cathédrale. Il y a aussi des fosses pleines de boue, je demande à mon père si il y a une crypte ou des catacombes sous cet endroit. Il me répond que c'est peu probable. Ma tante me demande si je préfère manger un kebab ou dans un restaurant italien pour midi. Je lui répond que je n'aime pas la cuisine italienne. Il y a des petites cochons blanc un peu partout dans la rue, ils sont assez mignons. Ma soeur en prend un et l'amène près de nôtre chien, Bidule, que je porte dans mes bras. Mon chien ne semble pas vouloir faire de mal au petit cochon et a l'air de se demander ce que c'est.
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