samedi 21 juin 2014

Des rêves joyeux.

Rêves de novembre 2011


Jason Voorhees

1-Première rencontre

Je marche dans la rue, il est très tard, minuit est passée depuis longtemps. Je me dirige vers l'immeuble où j'habite. Les rues ont l'air normales, elles sont éclairées comme n'importe quelle rue la nuit. Je suis à environ 100 mètres de mon immeuble, j'aperçois une silhouette en face de moi à environ 30 mètres. Je ne vois pas qui c'est mais je pense que c'est mon père. Je me dirige vers lui, son visage n'apparait que lorsque je suis près de lui. C'est Jason Voorhees sans son masque! Il m'étrangle et je me réveille.

2-Premier combat

Je suis chez mes grand parents avec mes cousins et ma soeur. Je sais que Jason va venir, je ne sais pas pourquoi je le sais mais je sais qu'il est sur le chemin vers la maison de mes grand parents. Je suis dans le jardin qui descend en pente vers la maison. Je me dépêche d'arriver dans la maison. Je rentre dans la maison, je vais dans le salon et Jason entre à ce moment là. Il porte son masque. Il y a un vase sur la table, je le prend et le lance sur Jason. Le vase rebondit comme un ballon... Je cherche un objet que je pourrais lancer sur lui et je prend le premier objet que je vois sur la table, c'est à dire un chat... Je prend le chat et le lance sur la télé en face de la table, la télé explose et Jason est projeté au sol.

3-La mort de Jason

Je suis de nouveau chez mes grands parents, toujours avec mes cousins et ma soeur. Nous sommes à l'étage et Jason surgit par la fenêtre en la fracassant. Il ne porte pas son masque. Mes cousins lui sautent dessus pour l'immobiliser, je prend une sulfateuse et commence à tirer sur son crâne. Le sang gicle partout et son crâne est dans un état indescriptible mais il est toujours vivant. Je prend une hache et met fin à ses jours en lui plantant plusieurs fois dans la tête. Il finit immobile sur le sol tâché de sang.



Rêves de janvier 2013


Les cannibales

1-La rumeur

Je suis dans le village natale de ma mère près de la maison de mes grands parents. Je suis avec mes cousins et ma soeur, nous marchons jusqu'au centre ville. Il y a une très grande forêt au milieu du centre ville. La forêt ressemble un peu à un labyrinthe taillé dans des buissons mais il y a aussi des arbres. Ma cousine me parle d'une rumeur, il y aurait un camp au milieu de la forêt. Le camp serait celui d'une tribu cannibale isolée de la civilisation.

2-Découverte et fuite

Je suis dans la forêt situé derrière la maison de mes grands parents, je suis avec mes cousins et ma soeur. Nous marchons dans les bois jusqu'à ce que nous apercevions un grand buisson. Nous contournons le buissons pour nous rendre compte qu'il y en a un deuxième. Ils forment une sorte de couloir au milieu de la forêt. Nous avançons dans ce couloir jusqu'à ce que nous tombions sur un camp. Aussitôt je pense au camp des cannibales, je m'enfuis en laissant mes cousins et ma soeur! Je suis sur le chemin qui mène à la maison de mes grands parents, je croise Chandler Bing sur le chemin. Il me sort une blague bien foireuse...

3-Première confrontation

Je suis de nouveau dans la forêt derrière la maison de mes grand parents. Je suis avec mes cousins, ma soeur, Elrond et Michael Chiklis. Nous partons à la recherche du camp cannibale. Je suis le seul à avoir peur de trouver les cannibales mais mes compagnons arrivent à me convaincre de les aider. Nous trouvons le camp très facilement après avoir distingué plusieurs silhouettes. Les cannibales se révèlent être des nains(ou des enfants), ils nous attaquent avec leur lances mais elles sont trop fragile pour nous faire mal. Un des cannibales me pointent avec sa lance, je lui prend des mains et lui enfonce dans le ventre. Ils sont trop nombreux pour être vaincu, Michael Chiklis sonne la retraite et nous nous enfuyons. Elrond essaye de nous prévenir que les cannibales nous tendent un piège et qu'ils veulent justement qu'on s'enfuit.

4-L'arbre

Je suis seul dans la forêt cette fois, j'ai l'impression d'avoir des milliers d'yeux fixés sur moi. Il y a un grand serpent sur le sol mais il ne semble pas se soucier de ma présence. Je marche dans les bois, j'ai un très mauvais pressentiment, pourtant la forêt semble normale. Je continue à marcher jusqu'à ce que je tombe sur le lieu le plus glauque de tout mon univers onirique. Un arbre assez grand se démarque des autres arbres de la forêt. Ses racines se plantent dans un énorme tas de crânes humains. Toute la forêt est rouge sang. Je suis étrangement en admiration devant cette arbre.


 Rêve du 20 février 2013


La meute

Je suis dans en haut d'une petite colline toute verte près d'une forêt. Je suis avec ma soeur et mon père, nous apercevons nôtre maison à environs 500m. Nous marchons vers nôtre maison jusqu'à ce que l'on entend un loup hurler, il y a toute une meute qui arrive vers nous, ils viennent de la forêt juste à côté de nôtre maison. Les loups sont assez gros.

Je commence à avoir peur, nous courons vers la maison et dit à ma famille d'utiliser des sortilèges pour tuer les loups. Je lance plusieurs boule de feu mais ça ne fait que les ralentir. Ma soeur et mon père sont les premiers a entré dans la maison, je retiens les loups pour leur laisser le temps. 

Je frappe les loups à coup de poing, je leur sert le cou. Je fais tout pour éviter une morsure, je cours vers la porte de ma maison. Au dernier moment un loup saute vers moi, sa gueule est coincé dans la porte, je lui donne un coup de poing pour le dégager et ferme la porte.


Rêve du 16 juin 2014 


Foot et envie de meurtre

 Je suis au bord d'un terrain de foot avec toute ma classe de terminale. Nous regardons un match de foot aux règles particulières.
Les joueurs peuvent être éliminé lors du jeu, au final il ne reste que deux joueurs sur le terrain. Le président Hollande est au centre du terrain, je lui amène le ballon.
Les deux joueurs restant viennent au centre, face à face. Hollande lance le ballon dans les airs, le match commence.

Je retourne au bord du terrain. Un jeune homme à côté de moi veut aller cogner les joueurs sur le terrain.Je le tiens pour qu'il ne perturbe pas le match. Il force ses poings contre moi mais il ne peux pas bouger.  Le match se termine, je libère le jeune homme. La France a gagné.

Les supporters de l'autre équipe, tous habillés en rouge, ont l'air très déçu mais ils ne sont pas énervés.
Je marche quelques secondes en suivant la foule quand je remarque que plus personne ne porte de vêtements. Mais personne n'a l'air de s'en soucier, sauf moi. Je fais semblant de mettre des vêtements et je ne suis plus gêner.

Nous allons vers la place Ducale, je me met à courir. Il y a un groupe de fille à quelques mètres de moi, je reconnais l'une d'elle. Je passe à côté d'elles et me fracasse les genoux sur le goudron en tombant comme un gros boulet. Je me relève et marche avec d'autres étudiants de mon lycée. L'un d'entre eux me parle sans raison, je ne lui ai jamais parlé, je ne le supporte pas.
 
Je repense à ma classe de terminale. Tout le monde est là. Je pense à une personne en particulier. Je me retourne en disant "Si je ne peux pas l'avoir, personne ne l'aura".
Je sais qu'elle est là, il y a une tente sur la place Ducale, elle est à l'intérieur, je le sais.
J'entre dans cette tente, elle est en face de moi mais toute ma vision se brouille, j'ai l'impression d'être secoué dans tous les sens.



Rêve du 26 septembre 2011


Rage meurtrière

Je suis au bord de la Meuse sur une place en goudron, deux anciens élèves de mon collège se battent sur cette place. Un d'entre eux m'énerve particulièrement, je vais le frapper mais involontairement je frappe les deux. Celui que je voulais aidé s'énerve contre  moi et veux me frapper, je lui donne un coup de poing qui le fait tombé au sol. Il se relève, il est blessé à la main. Il sort un couteau de sa poche, il s'approche de moi mais j'arrive à le plaquer au sol. Je le laisse sur le sol, le couteau est près de lui. 

Je m'approche du bord de la Meuse. Sur l'autre rive il y a un couple qui se tient la main. 
Il y a cette fille, la fille. Et il y a ce pauvre mec qui débarque de nul part pour prendre la seule chose dont j'ai envie. Je retourne près du jeune homme inconscient et prend son couteau. Fou de rage, je plante mon couteau partout sur son corps jusqu'à ce qu'une marre de sang le recouvre complètement.

-Toute tentative de meurtre, même onirique, devrait être compensée par des chatons














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